Cuba

De ces images qui restent indéfiniment Hector est mon complice en tout temps Nous voici palmant vers le large Sous les regards qui nous narguent

De ces images qui restent indéfiniment

Hector est mon complice en tout temps

Nous voici palmant vers le large

Sous les regards qui nous narguent

Arrivés à la plage des sirènes

Il a fallut que l’on se promène

Sur la finesse de ce sable blanc

L’eau efface les empreintes s’en allant

C’est le dernier souffle du Barracuda

Le vent du nord-est est notre ami

Pas le temps de s’arrêter là

Mais que la mer est belle dans ce pays

C’est comme un retour en arrière

Oui mai où? et quand? Lequel?

Je n’entends plus les prières

Peut-on rester fidèles?

Dernier jour, les éléments se déchaînent

A la régate, certains sont à la traine

Le mal de terre est à la porte

Nous irons encore où le vent nous porte