
De ces images qui restent indéfiniment
Hector est mon complice en tout temps
Nous voici palmant vers le large
Sous les regards qui nous narguent
Arrivés à la plage des sirènes
Il a fallut que l’on se promène
Sur la finesse de ce sable blanc
L’eau efface les empreintes s’en allant


C’est le dernier souffle du Barracuda
Le vent du nord-est est notre ami
Pas le temps de s’arrêter là
Mais que la mer est belle dans ce pays
C’est comme un retour en arrière
Oui mai où? et quand? Lequel?
Je n’entends plus les prières
Peut-on rester fidèles?


Dernier jour, les éléments se déchaînent
A la régate, certains sont à la traine
Le mal de terre est à la porte
Nous irons encore où le vent nous porte